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    On ne risque rien à devenir ce que l'on est déjà.

    On connaît la valeur de la vie et ce que ça peut apporter d'être au monde.

    Il ne faut mettre de l'énergie qu'à être soi-même.

    Se trouver reste la clé.

    Le corps est en quelque sorte le prédateur de l'âme.

    "Comme la plante à laquelle s'accroche le visiteur parasite, il ne peut vivre qu'en sa compagnie.

    Une fois accroché à elle, il lui ôte toute liberté de penser que, sans lui, elle vivrait.

    C'est sa plus grande prédation : tuer en nous l'idée de l'immortalité.

    Il est important de clarifier ces priorités.

    Il n'y a que l'amour qui compte.

    Il y a bien longtemps que la peur qui te cloue au sol m'a quittée.

    Tu auras toujours des aides, si tu les demandes.

    Pense à demander.

    Si ce n'est pas moi, il y en aura d'autres.

    Les lumineux sont tous reliés."

    ...les brumes de l'apparence - Actes sudun extrait de Frédérique Deghelt


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    Ni jugement, ni reniement.

    pourquoi juge-t'on?

    Parce que l'on se sent rejeté?

    Pourquoi se sentir rejeté?

    Parce qu'on s'est déjà sabordé, parce que là où le bas blesse n'est que cette zone que nous flairons avec pénibilité.

    Fleure donc ton parfum et accepte donc de regarder quel type d'insectes viennent s'y abreuver et apprends donc leur langage et je te promets que tu entreras dans une danse des plus suave.

     


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  •                    Amour, mon bel amour, je voudrais tant être aimé, je voudrais tant te toucher, je voudrais tant être enlacé.

    Combien sommes-nous à perpétuer ce chant cruel d'espérance, ce cri déchirant qui résonne dans notre cœur et qui se décline en de multiples formes.

    je t'aime, moi non plus. Suis-moi, je te fuis

    Je veux aimer et contradictoirement j'évite ce flux suspect qui de moi veut s'approcher ou pire même s'accrocher.

    Comment reconnaître ce que l'on a maintes fois refusé ou malmené.

    Se plaindre, se lamenter est si coutumier.

    se décider à se laisser aimer sans avoir peur de perdre sa liberté, "y a pas d'erreur, j'adore, conquis, je t'adore,.."

     

     

     

     

     

     


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  •     Vous rappelez-vous de cette complainte du phoque en Alaska? "ça ne vaut pas la peine, de quitter ceux qu'on aime pour aller faire tourner un ballon sur son nez; ça fait rire les enfants, ça dure jamais longtemps, ça fait plus rire personne quand les enfants sont grands.....".

    Qu'est-ce qui peut donner du sens lorsque vous avez la sensation  de verser dans la routine d'une fonctionnalité aberrante.

    Partir de chez soi, chaque matin pour aller au turbin.  Prendre la route et avoir l'esprit en déroute.

    Donner de sa personne et n'être vu par personne.

    Et pourtant la vie est bien plus que cela et contrairement à ce que vous pensez, vous êtes vu, vous êtes entendu et votre souvenir se poursuit au delà de votre espérance.

    Vous avez marqué un esprit, on parle de vous en soirée, vous avez titillé ou suscité un débat auquel vous ne participerez que par le seul fait d'être passé par là.J

    Autant dire que personne, ne passe jamais inaperçu quand bien même on le voudrait et bien vous voila défait.

    La routine, en voila une belle illusion.

    Un jour n'est pas l'autre, loin de là, votre humeur change d'une heure à l'autre imperceptiblement, votre niveau d'énergie varie et votre écoute personnelle aussi.

    alors, finalement la vie est faite de montagnes russes, de polka polonaise, de un jour comme aujourd'huiKama sutra  japonais? (je sais plus ou plutôt hein, d'où...), de tantra indouiste, oh et puis croisons les peuples et les rites et dégustons un spaghetti à la française et des rillettes à la carbonara...ma foi, soyons fous!

     

     


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