• on peut dire qu'elle est culottée celle-là.

    Elle sentait bien que quelque chose clochait sans trop en comprendre la raison.

    Il est vrai que son pantalon de teinte noire moirée lui seyait à ravir.

    Elle l'a acheté tout spécialement pour la St Valentin, histoire de titiller son amoureux.

    Ce Week-End, elle est de garde et donc elle tentera la grande manœuvre de séduction dès vendredi soir.

    Nous n'aurons pas les détails de cette joute amoureuse mais elle fut à tout point réussie...

    Le lendemain en pleine réunion de travail, une boule dérangeante déforme son mollet.

    Mais qu'as-tu donc, Linda, cela est bien étrange, lui lance son collègue.

    Interloquée, la voila qui se lance dans un grand rire, le souvenir de sa soirée lui ravive l'éclat de ses yeux et elle s'esquiva pour aller vérifier ce à quoi elle pensait.

    Elle revint victorieuse et bravement lui expliqua : "j'ai bien cru que c'était ma petite culotte d'hier, mais finalement, non, mais tu n'en sauras pas plus, je te laisse imaginer..."

    Et suite à cela s'ensuivirent des dialogues les plus loufoques les uns des autres sur les mésaventures liées à des petites culottes oubliées....

    Ne me dite pas que vous n'en connaissez pas!la petite culotte

     

     


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  • ce besoin de dire.

    Ce besoin de croire.

    Ce besoin de faire taire.

    Cette tendance à croire que je suis là pour un destin unique.

     

    Le ciel magnifique de cette journée.

    Le ciel magnifique de chaque journée.

    Cela m'époustoufle chaque jour, un jour nouveau, un ciel nouveau, un souffle régénérateur..

    Un peu de neige sur la route, la circulation fluide, la lumière qui vibre à travers les nuages et qui transperce l'humidité ambiante...il semble qu'un arc en ciel se noie au milieu de cette dernière....il veut se dire et ne transparaît pas.  pourtant, je le devine, je sens sa présence, intense, aussi forte que son absence.

    il est là sans l'être, ne fut-ce que par ma perception filtrant les éléments de la nature.

    Si belle, si présente.

    Une journée de plus, faite de rire et d'émotions, de partage et de souvenir, d'incertitude et d'humanité.

    Une journée à percevoir et à non percevoir, que la vie peut nous échapper à tout instant, je l'entends lors de mes rencontres et cependant, l'enthousiasme reste présent, le désir de partager, d'être ensemble, et le bonheur de laisser s'écouler ses sensations à l'heure solitaire de la fin du jour et du début de la nuit...

     



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    On ne risque rien à devenir ce que l'on est déjà.

    On connaît la valeur de la vie et ce que ça peut apporter d'être au monde.

    Il ne faut mettre de l'énergie qu'à être soi-même.

    Se trouver reste la clé.

    Le corps est en quelque sorte le prédateur de l'âme.

    "Comme la plante à laquelle s'accroche le visiteur parasite, il ne peut vivre qu'en sa compagnie.

    Une fois accroché à elle, il lui ôte toute liberté de penser que, sans lui, elle vivrait.

    C'est sa plus grande prédation : tuer en nous l'idée de l'immortalité.

    Il est important de clarifier ces priorités.

    Il n'y a que l'amour qui compte.

    Il y a bien longtemps que la peur qui te cloue au sol m'a quittée.

    Tu auras toujours des aides, si tu les demandes.

    Pense à demander.

    Si ce n'est pas moi, il y en aura d'autres.

    Les lumineux sont tous reliés."

    ...les brumes de l'apparence - Actes sudun extrait de Frédérique Deghelt


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    Ni jugement, ni reniement.

    pourquoi juge-t'on?

    Parce que l'on se sent rejeté?

    Pourquoi se sentir rejeté?

    Parce qu'on s'est déjà sabordé, parce que là où le bas blesse n'est que cette zone que nous flairons avec pénibilité.

    Fleure donc ton parfum et accepte donc de regarder quel type d'insectes viennent s'y abreuver et apprends donc leur langage et je te promets que tu entreras dans une danse des plus suave.

     


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  •                    Amour, mon bel amour, je voudrais tant être aimé, je voudrais tant te toucher, je voudrais tant être enlacé.

    Combien sommes-nous à perpétuer ce chant cruel d'espérance, ce cri déchirant qui résonne dans notre cœur et qui se décline en de multiples formes.

    je t'aime, moi non plus. Suis-moi, je te fuis

    Je veux aimer et contradictoirement j'évite ce flux suspect qui de moi veut s'approcher ou pire même s'accrocher.

    Comment reconnaître ce que l'on a maintes fois refusé ou malmené.

    Se plaindre, se lamenter est si coutumier.

    se décider à se laisser aimer sans avoir peur de perdre sa liberté, "y a pas d'erreur, j'adore, conquis, je t'adore,.."

     

     

     

     

     

     


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