• C'est bien la question que je me pose...envie de lacher, de laisser faire et d'accepter les décisions prises sans peser le pour et le contre...et.. à côté de cela le brouhaha des "oui mais, et, ça ne va pas, ce n'est pas ce qui était prévu" se fait entendre...un malaise survient.

    La légèreté du laisser faire face à l'interpellation du "holà mon gars".

    Alors qu'adviendra t'il du papillon?


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    Une photo pour se rafraîchir les idées, pour dynamiser notre joie de vivre, pour réhydrater nos cellules épithéliales, pour boucler nos cheveux lissés et surtout pour faire la nique au parapluie et aux capuches.

    C'est pas "parcqu'il pleut pas" qu'on peut pas jouer à "jour de pluie"...


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  • garde ta voiture!

     

    L'on vient juste de s'embrasser, de se dire le bonsoir.

    Il est là, debout devant sa maison, il fait déjà noir et un peu froid.

    Je tourne la clé, le moteur vrombit.

    Et il s'élance vers la vitre et me dit quelque chose du genre :"tu vas dire que....mais...garde ta voiture..."

    Pourquoi écrire cela?

    Comme ça parce que un fil conducteur relie bien des événements autour d'elle...qui ne se doute de rien?

     


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  • On dirait bien que le mois d'avril fait ressortir les vieux dossiers.

    Les affaires soit disant classées refont surface afin d'être une bonne fois dépoussièrées.

    Et quand je dis une bonne fois, je devrai plutôt dire : "de bonne foi".

     

    Avril

     

    Ah, tant de fois nous sommes nous tus, par honte, par ignorance ou plutôt par respect, ou parce que cela ne se dit pas.

    Et pourtant si on avait su, on aurait prêté main forte à tel ou telle qui avait plié face à la vie, ou même mangé toute sa galette à grande gueule ouverte.

    Il faut dire que tendre la main est parfois chose risquée, car en retour vous pourriez recevoir un séisme de virulence qui vous retourne le parapluie  à la vitesse de l'éclair.

    Alors, avril, mois de la grande lessive, du "hm, cela sent le propre".

    Vite acheter de l'adoucisseur pour que la peau dure cesse et que la chance rue dans les placards pour y faire entrer un peu plus de lumière.

    Mais oui, tout cela a un sens, ne nous fions pas aux simples apparences


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  • le passé est-il le futur?

    Et si tout allait à l'envers, si notre quête était de retrouver la mémoire.

    Il me semble que l'on penche tant à savoir qui on était, à retrouver la part pleine de soi, notre conscience nous fait sans cesse croire qu'il lui manque quelque chose, ou qu'une part d'elle a été égarée en chemin.

    Et si plus on allait en avant et plus on s'oubliait, avec cette sensation que derrière-nous nos traces s'effacent.

    Faut-il cependant s'inquiéter de cela, la légèreté n'est-elle pas de regarder devant soi, d'aller là au devant de la vie, d'aller là où nous porte notre regard, là où nos pieds peuvent nous emmener.

    Notre esprit est si malicieux qu'il peut aisément nous balader, nous faire croire que les rhinocéros blancs sont vraiment blancs, que nous somme un autre et que notre vraie nature a été kidnappée, planquée dieu sait où.

    On peut y passer sa vie,  y laisser un bout de son âme, parfois même vivre une régression hormonale, voire ressurgir l'activité des glandes surrénales dans un désir vital de survivre.

    Si notre corps pouvait décider, de se libérer de ce joug que notre mental lui inflige, que serait donc notre vie.

    Je me plais à l'imaginer, et je crois qu'à cet instant, plutôt que d'écrire ces quelques lignes, je sautillerais sur l'herbe fraiche à me ravir de sentir mes pieds rebondir sur le sol et à flairer bon l'air frais de cette fin de journée si bien éclairée par un ciel inespérément bleu et lumineux.


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